ENR Grenelle Habitat : Les énergies renouvelables pour chauffer la maison des français

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ENR Grenelle Habitat

À l’heure où le réchauffement climatique a définitivement engagé le pronostic vital de la planète, les pays membres des Nations Unies sont entrés dans une démarche de transition énergétique. Car c’est impératif, l’espèce humaine doit réduire ses émissions de gaz à effet de serre rapidement et de manière drastique ! Depuis de nombreuses années déjà, des experts, spécialistes de l’environnement, travaillent à trouver les solutions de demain. Celles qui pourraient permettre à nos sociétés de vivre et consommer, sans polluer. Et il s’avère que si l’homme a depuis toujours organisé son système de production et de consommation sur la base des énergies fossiles - que nous savons très polluantes et disponibles en quantité limitée - la planète Terre est aussi source d’énergies renouvelables qui sont, à l’inverse, disponibles à l’infini et ne polluent pas. Alors si la planète peut encore être sauvée, son salut passe irrémédiablement par l’exploitation des énergies renouvelables comme nouveau mode de production et de consommation. Parce qu’il est l’un des principaux émetteurs de gaz à effet de serre, un secteur en particulier constitue un levier clé de la transition énergétique : le secteur du bâtiment.

Focus sur les énergies de chauffage des logements individuels et collectifs

Une étude de l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie) révèle qu’en 2012 en matière de chauffage, le gaz était encore l’énergie la plus utilisée (44%), suivi de près par l’électricité (33,5%) puis le fioul (14%). Arrivent ensuite le chauffage urbain (4,2%) et le bois (3,8%). Le chauffage de l’eau sanitaire lui, se fait essentiellement grâce à l’électricité (46,5%) et au gaz (38,4%). Dans la répartition habitat collectif/habitat individuel, en 2012 toujours, le gaz était utilisé pour alimenter 54,5% des chaudières collectives et 36,6% de l’habitat individuel, quand le fioul alimentait 5,6% de l’habitat collectif et 21% des logements individuels. Pour le chauffage de l’eau sanitaire, l’électricité était utilisée dans la majorité des maisons individuelles (51%) et dans 39,3% des logements collectifs. En immeuble, c’est le gaz qui était le plus utilisé pour le chauffage de l’eau sanitaire : 48,8% contre 30,4% dans les maisons. Et quand le fioul n’était utilisé qu’à 3,7% dans le logement collectif, il occupait encore une part importante (13%) dans les maisons individuelles.

Cette répartition de la consommation des énergies de chauffage est aussi impactée par la date à laquelle les logements ont été construits. Les constructions d’avant 1975 utilisent principalement le gaz pour se chauffer (53,8%), puis le fioul (27%) et enfin l’électricité (10,4%). Entre 1975 et 1981, la part de l’électricité grimpe à 22,5% au détriment du gaz (41,6%) et du fioul (25,8%). Et la tendance se confirme dans les logements construits entre 1982 et 1989 : 42% d’entre eux se chauffent à l’électricité, 37,3% au gaz et 15,4% au fioul. Entre 1990 et 1998, le gaz reprend des parts de marché (43,3%) et l’électricité passe à la seconde place (36,1%), la consommation de fioul continue elle, de diminuer (14,7%). Depuis 1999, le marché est assez stable : 48,8% pour le gaz, 36,7% pour l’électricité et 8,3% pour le fioul.

Comment les énergies renouvelables font leur entrée sur le marché du chauffage ?

En 2012, toujours dans le cadre de son étude, l’ADEME constate que la consommation finale d’énergie des secteurs de l’habitat et du tertiaire progresse à hauteur de 0,2%. Mais, dans cette consommation globale, les énergies renouvelables trouvent peu à peu leur place et ont progressé de 4,9%. En effet, dans un contexte de transition énergétique, le marché du chauffage voit apparaître de nouveaux acteurs à même d’apporter des solutions novatrices et en plein essor, telles que le chauffage au bois qui propose des modes de chauffage de plus en plus performants, ou encore les pompes à chaleur qui rencontrent un grand succès dans l’habitat individuel. L’entreprise ENR Grenelle Habitat par exemple, basée en Ile de France et en région Nouvelle Aquitaine, propose aux ménages des solutions de chauffage écologiques basé sur la thermodynamique.

En 2008, les membres de l’Union Européenne signaient le « paquet-énergie-climat 2020 », s’engageant chacun, à atteindre des objectifs en matière d’énergies renouvelables d’ici 2020. L’engagement de la France était alors de porter à 23% la part des énergies renouvelables dans sa consommation finale d’énergie. Aussi, soutenue par l’État, la filière du chauffage écologique dans le bâtiment et avec elle les nouveaux systèmes de chauffage consommateurs d’énergies renouvelables, a fait ses preuves depuis ! L’enjeu est environnemental bien sûr, car leur utilisation contribue incontestablement à réduire les émissions de gaz à effet de serre. Mais, en complément, l’utilisation des énergies renouvelables pour chauffer les logements individuels ou collectifs constitue aussi un excellent moyen de réduire la facture énergétique des foyers français. Certes le matériel requis et son installation ont un coût, mais ce coût constitue un réel investissement pour réduire la consommation des ménages en chauffage classique et pour valoriser leur bien immobilier.

Quelles sont les énergies disponibles pour se chauffer de manière écologique ?

La planète Terre présente l’avantage de mettre à la disposition de l’espèce humaine de nombreuses énergies disponibles à l’infini et exploitables pour se chauffer. L’énergie du soleil est la plus puissante d’entre elles. À elle seule, elle est suffisante pour répondre à l’ensemble des besoins de l’humanité. Issu de la biomasse, le bois dispose d’une grande capacité calorifique et ne coûte pas cher. La géothermie elle, puise son énergie dans la chaleur de la Terre quand l’aérothermie prend elle, son énergie dans la chaleur de l’air. Bien sûr, pour être transformées en système de chauffage, chacune de ces énergies nécessite des équipements qui lui sont propres. Mais elles restent non polluantes et inépuisables.

Quel est le prix moyen de ces équipements ?

Les équipements de chauffage utilisant les énergies renouvelables coûtent plus ou moins cher selon plusieurs critères. Leur prix dépend notamment de leur capacité de chauffage et de leur puissance. Par exemple, le prix d’un poêle à granulés de bois et de son installation peut varier de 4000 à 15 000 euros. Et pour les pompes à chaleur, la fourchette est assez large également : de 10 000 à 18 000 euros pour une pompe à chaleur air-eau, de 6000 à 15 000 euros pour une pompe à chaleur air-air et de 20 000 à 50 000 euros pour une pompe à chaleur géothermique.

Si le budget pour migrer vers une consommation de chauffage écologique peut sembler élevé, il existe des aides de l’État permettant de financer le montant des travaux. Le Crédit d’Impôt pour la Transition Énergétique (CITE) prévoit de couvrir jusqu’à 30% du coût de l’installation d’une pompe à chaleur air-eau, via une économie réalisée sur l’impôt sur le revenu. Il existe aussi une aide financière de l’Anah (Agence Nationale de l’Habitat), ou encore la possibilité de bénéficier d’un taux de TVA réduit, de la prime énergie et enfin de l’éco-PTZ (prêt à taux zéro). Aux aides de l’État, s’ajoutent des aides provenant des collectivités locales.

Le passage d’une consommation d’énergies fossiles pour se chauffer, à une consommation d’énergies renouvelables, est une démarche de plus en plus courante dans les foyers français. Mais cette démarche nécessite d’être bien conseillé. ENR Grenelle Habitat, spécialiste de l’installation de pompes à chaleur, l’a bien compris. Si l’entreprise met à la disposition de ses clients les meilleures équipes techniques pour leur fournir, quel que soit leur budget, des installations de chauffage de qualité, elle s’attache aussi à les accompagner sur la partie administrative de leur projet et notamment, dans le montage des dossiers nécessaires à l’obtention des aides auxquelles ils ont droit.

Une pompe à chaleur pour chauffer la maison

ENR Grenelle Habitat exploite l’aérothermie pour ses solutions de chauffage. Cette méthode consiste à capter les calories présentes dans l’air extérieur pour chauffer l’intérieur de la maison. C’est la pompe à chaleur qui capte les calories et les diffuse ensuite directement dans le logement où dans un circuit de chauffage. Selon la méthode employée, il existe deux types de pompe à chaleur. La première est appelée air-eau. Ce système injecte les calories dans le système de chauffage de la maison. Un groupe placé à l’extérieur de l’habitation capte les calories. Deux tubes de cuivre sont reliés au groupe et conduisent les calories vers le chauffage central. Ce transport d’énergie est possible grâce à un fluide frigorigène et un module hydraulique connecté au système de chauffage existant (radiateurs ou plancher chauffant). Dans le cas d’une pompe à chaleur air-air, le principe de captation des calories est le même que pour une pompe à chaleur air-eau, mais les calories sont transportées directement, via le liquide frigorigène, vers plusieurs unités de chauffage placées à l’intérieur et qui libèrent la chaleur au sein de l’habitat. Le système de pompe à chaleur air-air n’utilise donc pas le système de chauffage existant, contrairement à la pompe à chaleur air-eau.

Un COP élevé garantit une facture d’électricité allégée !

En matière de pompes à chaleur, le critère numéro 1 de sélection est leur capacité à produire plus d’énergie qu’elles n’en consomment. Ce ratio est calculé grâce au Coefficient Optimal de Performance (COP). Il indique le rapport entre la puissance de chauffage rendue et la puissance énergétique consommée par la pompe à chaleur. Plus il est élevé, plus l’installation est rentable. Par exemple, les pompes à chaleur installées par ENR Grenelle Habitat consomment en moyenne 1kw quand elles restituent 4,5Kw, ce qui constitue un coefficient parmi les plus élevé du marché. Et leur chaleur est constante !